Promenades architecturales : découvrir l’architecture de Le Corbusier en voyageant

Un voyage culturel à travers le France : une promenade architecturale sur les traces de Le Corbusier

 

La pandémie de COVID-19 nous a bien vite conduits à penser à « l’après » et à imaginer les choses que nous ferions ensemble « une fois que ce serait passé ». Une promenade architecturale sur les traces de Le Corbusier a tout pour satisfaire notre soif d’ailleurs – car découvrir des trésors d’architecture tout en voyageant peut être un très bon point de départ pour un prochain voyage.

Ce que nous dit le slogan ‘‘Dream now, travel later’’ (« Rêver aujourd’hui pour voyager plus tard »), c’est que nous pouvons chercher la nouveauté, le charme de l’inconnu et des moments inoubliables juste là où nous nous trouvons, et l’idée d’un ailleurs plus lointain remplit alors à elle seule le rôle du compagnon de voyage agréable.

Pour Le Corbusier, l’inconnu fonctionnait également comme un stimulant et une invitation à développer et à préciser son architecture et ses peintures hors du temps, sans oublier la Polychromie Architecturale.


En mai 2019, l’Association des Sites Le Corbusier (ASLC) a vu trois ans de travail récompensés par le Secrétariat de l’Accord Partiel Élargi sur les Itinéraires Culturels du Conseil de l'Europe. Le parcours « Destinations Le Corbusier : promenades architecturales » a été certifié Route culturelle du Conseil de l’Europe. Ce grand projet culturel vient compléter l’inscription de 17 bâtiments internationaux signés Le Corbusier sur la liste du Patrimoine mondial de l’UNESCO. Les « Destinations Le Corbusier : promenades architecturales » rassemble certains des bâtiments inscrits au Patrimoine mondial de l’UNESCO et d’autres créations intemporelles signées Le Corbusier.

L’objectif est la mise en valeur de « toutes les réalisations de Le Corbusier à travers l’Europe (à l’origine, une trentaine de sites répartis dans trois pays – la France, l’Allemagne et la Suisse – mais aussi au-delà du cadre européen, en Argentine et au Japon notamment) et de prolonger la dynamique créée entre les membres et les partenaires internationaux ».

L’Association des sites Le Corbusier propose un parcours culturel reliant 21 villes, 6 pays et une trentaine d’œuvres architecturales de Le Corbusier.

Cet itinéraire culturel accredité vise un public large – familles, promeneurs solitaires, groupes, spécialistes du monde académique ou encore groupes scolaires – et encourage les voyageurs à découvrir l’intrégralité de l’œuvre architecturale de Le Corbusier et son importance, en Europe et dans le monde.

Un voyage culturel à travers le France : une promenade architecturale sur les traces de Le Corbusier

Ceux qui entreprennent de faire le voyage d’une seule traite en voiture doivent compter 18 heures de route environ. Peu importe, prendre le volant de sa propre voiture pour découvrir le monde de Le Corbusier est une option très en vogue – et pourquoi pas en profiter pour arpenter les belles régions de France par la même occasion.

Cité Frugès, Pessac

Dans le sud-ouest de la France, près de Bordeaux, se trouve la très colorée Cité Frugès, inséparable des Quartiers Modernes Frugès. Les lieux sont marqués par deux mots d’ordre : art et progrès social. Ici, Le Corbusier a travaillé avec un vert clair afin de faire entrer la nature dans la ville. La construction de la Cité Frugès, qui a été conduite entre 1924 et 1926 par les architectes Pierre Jeanneret et Le Corbusier, a constitué une petite révolution dans le champ du logement social à l’époque. À l’origine de ce projet remarquable : Henry Frugès, un industriel bordelais et grand amateur d’architecture. Ce sont bien des préoccupations sociales qui l’ont inspiré : il souhaitait en effet permettre à tout un chacun d’accéder à un logement, indépendamment de sa situation financière. En 1929, on comptait 50 maisons construites. Le style architectural retenu se démarquait très clairement des tendances de l’époque. La Cité Frugès est inscrite au Patrimoine mondial de l’UNESCO.

À propos de Pessac et des couleurs architecturales qui la caractérisent, Le Corbusier a écrit en 1925 : «Nous avons aussi eu recours à un concept de polychromie complètement nouveau, puisque nous nous sommes concentrés sur un but purement architectural : façonner l’espace grâce à la qualité physique de la couleur – afin de mettre en valeur certains volumes et d’en placer d’autres en retrait. En un mot, nous composons avec la couleur comme nous composons avec la forme. De cette façon, l’architecture est transformée en urbanisme ».

Site Le Corbusier, Firminy

Firminy est une ville située dans le département de la Loire, dans la région Rhône-Alpes. Depuis 1995, la ville fait partie de la métropole de Saint-Étienne. L’ensemble architectural et urbanistique du Centre de re-création du Corps et de l’Esprit est situé, de manière symbolique, à la jonction entre la vieille ville de Firminy et le quartier Firminy-Vert.

Parmi les nombreux bâtiments imaginés par Le Corbusier pour Firminy-Vert, seule la Maison de la Culture a été inscrite sur la liste du Patrimoine mondial de l’UNESCO. Le bâtiment fait 112 mètres de long. À Firminy aussi, Le Corbusier a fait jouer le principe de l’importance de la couleur architecturale. On trouve aussi dans l’Unité de Firminy l’utilisation caractéristique de la couleur pour le Brise-Soleil, ainsi qu’une garderie réalisée dans des couleurs vives, au même titre que des éléments de fenêtres. Dans l’église de Firminy, Le Corbusier, en qualité d’artiste mais aussi d’architecte, a exprimé une incroyable sensibilité pour l’interaction entre couleur et lumière dans les bâtiments sacrés.

Couvent et chapelle de pèlerinage sur la promenade architecturale de Le Corbusier en France

 

Couvent Saint-Marie de la Tourette, Eveux

Le monastère de Sainte-Marie de La Tourette à Éveux, près de Lyon, a été pensé et construit entre 1954 et 1960 par le célèbre architecte Le Corbusier. Le bâtiment du monastère, aujourd’hui considéré comme un ouvrage central du mouvement désigné sous le nom de brutalisme, a été conçu pour l’Ordre des Dominicains.

Il s’agit d’une synthèse magistrale de toutes les réussites du mouvement moderne, une combinaison de lignes épurées, de surfaces brutes et de solutions de construction hors du commun. Le bâtiment dégage une beauté austère et a été construit en suivant les principes du Modulor. Il a été pensé pour fonctionner comme un monde replié sur soi, pour une communauté de moines silencieux, l’idée étant de refléter leur mode de vie spécifique.

Entouré de bois et de prairies, le monastère de La Tourette est situé sur une colline en pente qui s’ouvre sur la vallée. À la fin des années 1960, le lieu est devenu un établissement d’enseignement. Aujourd’hui, les cellules individuelles, qui présentent toutes une hauteur de 226 cm et une largeur de 183 cm, peuvent être louées pour la nuit par les visiteurs. Depuis 2006, le monastère de La Tourette est classé. Deux ans plus tard, son nom était soumis pour une inscription au Patrimoine mondial de l’UNESCO, en même temps que 16 autres réalisations de Le Corbusier. À l’été 2016, le Couvent Saint-Marie de la Tourette a été enfin classé au Patrimoine mondial, en même temps que 16 autres bâtiments Le Corbusier.

Chapelle Notre-Dame du Haut, Ronchamp

L’église Notre-Dame du Haut de Ronchamp, destinée à accueillir les pèlerins, a ému et marqué les esprits comme aucun autre bâtiment au 20ème siècle. La chapelle Notre-Dame de Ronchamp se présente sous la forme d’une arche blanche agrémentée de vitraux qui sont autant d’ouvertures dans le bâtiment.

Le toit a été conçu en béton brut. La colline Notre-Dame du Haut, qui surplombe Ronchamp, en Franche-Comté, est un lieu qui revêt une importance aussi bien historique que spirituelle. Le Corbusier y a érigé une chapelle en 1955. Dans les années 1970, Jean Prouvé a ajouté un clocher. Le Corbusier a joué avec la lumière pour différencier les sous-espaces. L’attention est portée vers le maître-autel, baigné tantôt de lumière blanche, tantôt d’une lumière colorée.

Après sa reconstruction en 1920, la chapelle a été endommagée par des tirs d’artillerie en 1944. Au printemps 1950, Le Corbusier, devant l’insistance de son ami Maurice Jardot, a accepté de se rendre sur la colline, après avoir longuement résisté à cet appel.

L’environnement naturel et l’histoire des lieux ont profondément touché l’architecte. Au bout du compte, François Mathey et Lucien Ledeur ont réussi à le persuader de participer à l’opération de reconstruction. La première pierre de la nouvelle chapelle a été posée le 4 avril 1954. L’inauguration a eu lieu le 25 juin 1955 et, depuis 2016, ce bâtiment-phare compte parmi les trésors inscrits au Patrimoine mondial de l’UNESCO.

Le Corbusier à Briey et Saint-Dié-des-Vosges

Usine Duval, Saint-Dié-des-Vosges

Saint-Dié-des-Vosges est située dans le massif des Vosges, dans une Alsace très pittoresque. Bien que la ville ait été en grande partie détruite au cours de la Seconde Guerre mondiale, l’impressionnante cathédrale (agrémentée de splendides vitraux dans un style moderne), le cloître et la chapelle ont pu être préservés. Au-delà de l’usine portant son nom, Monsieur Duval a également joué un rôle important dans la commande passée à Le Corbusier pour la reconstruction de la ville, un projet passé à la postérité mais jamais réalisé.

La bonneterie Claude-et-Duval, conçue par Le Corbusier en 1947 et construite entre 1948 et 1951, avec son brise-soleil et sa polychromie, est le seul bâtiment industriel conçu par l'architecte et le premier bâtiment à suivre les principes du Modulor (la Cité Radieuse in Marseille a été inaugurée un an plus tard, en 1952).

Le Corbusier a saisi cette opportunité pour créer une « usine verte », un projet inspiré par les normes de la ville et à la Charte d’Athènes. Des rectangles de couleur sont peints sur les plafonds. Ceux-ci, au même titre que les boiseries, sont extrêmement colorés, l’idée sous-jacente étant de souligner le caractère robuste du béton. Le contraste des matières et des couleurs qui en résulte place cette œuvre dans la lignée des villas des années 1930 qui ont ouvert la voie du brutalisme au moment de l'après-guerre. Ce bâtiment rejoint également le groupe des 17 sites Le Corbusier classés au Patrimoine mondial de l'UNESCO.

Unité d’Habitation Briey, Briey

Briey est située à une trentaine de kilomètres de Metz, à une centaine de kilomètres de Nancy et à environ 50 kilomètres de Luxembourg Ville. À Briey-en-Forêt, en Meurthe-et-Moselle, Le Corbusier construit un des cinq bâtiments s’inscrivant dans le projet développé par l’architecte Georges-Henri Pingusson pour la ville, qui inclut notamment 100 maisons et une école à proximité de l’Unité d’habitation.

Tous ces projets sont nés de la nécessité de proposer des logements à une population en constante augmentation dans une région marquée par le travail minier, l’extraction de minéraux, de charbon et de fer et l’industrialisation qui les accompagne.

L’Unité de Briey telle que pensée par Le Corbusier mesure 110 mètres de long, 119 mètres de largeur et 56 mètres de hauteur. Dans sa version finale, elle comporte 339 appartements répartis sur 17 étages, avec une possibilité d’accueil d’environ 1 000 habitants.

La Cité Radieuse de Briey-en-Forêt est située sur un plateau boisé, loin de la ville. En 1955 et après la Seconde Guerre mondiale, on attendait une forte augmentation de population dans le bassin minier. L’Unité d’habitation de Briey compte 339 appartements conçus selon 11 variantes.

La grande majorité de ces appartements sont jumelés et reliés par 6 « rues intérieures ». L'orientation a été clairement spécifiée : les façades vitrées, côté est comme côté ouest, sont pourvues de loggias. 

Promenades architecturales - L'architecture de Le Corbusier à Paris

Immeuble locatif de la Porte Molitor, Boulogne-Billancourt

Cet ensemble résidentiel est situé à Boulogne-Billancourt. Il s’agit du premier bâtiment résidentiel au monde à être doté de façades entièrement vitrées. La construction reprend par ailleurs les grands principes de la Cité radieuse, puisqu’elle se situe au cœur de la ville, à proximité de parcs et de nombreuses installations sportives. Le studio appartment atelier parisien de Le Corbusier se trouve dans l’Immeuble Molitor et a connu de nombreuses transformations et expérimentations architecturales au fil des décennies. Par ailleurs, l’architecte a régulièrement modifié la palette de couleurs des murs pour les adapter aux conditions de luminosité du moment. À cette époque, il s’intéressait déjà beaucoup à l’étude de la conception de la couleur architecturale. Ce bâtiment fait lui aussi partie des 17 sites Le Corbusier inscrits au Patrimoine mondial de l’UNESCO.

Maisons La Roche-Jeanneret, Paris

Les Maisons La Roche-Jeanneret se trouvent dans le 16ème arrondissement de Paris, près de la station de métro « Jasmin ». On les considère comme la première expression architecturale du mouvement puriste. C’est avec son cousin Pierre Jeanneret que Le Corbusier a travaillé sur ce projet de résidence parisienne destinée au banquier suisse Raoul La Roche. Le bâtiment se compose de deux blocs blancs reliés de manière à former un plan en L au sol. La première maison a été conçue pour le frère de Le Corbusier, Albert Jeanneret, la seconde pour Raoul La Roche. La construction a débuté en novembre 1923. Aujourd’hui, la villa Jeanneret abrite les bureaux de la Fondation Le Corbusier ainsi qu’une bibliothèque. Seule la maison La Roche est accessible au public. Les maisons La Roche et Jeanneret ont été inscrites au Patrimoine mondial de l’UNESCO en juillet 2016.

La décoration intérieure reprend le style Le Corbusier avec des murs peints d’un seul bloc, dans des tons gris, bleus et Sienne. Après quelques travaux de rénovation, la Maison La Roche de Paris a réouvert ses portes en 2009. L’utilisation de la couleur contribue aussi à une nouvelle perception de l’espace. Le Corbusier met en pratique une Polychromie Architecturale tirée des théories puristes. Les couleurs retenues couvrent les trois domaines – force, dynamisme et transition – qui constituent la séquence-clé d’une « promenade architecturale ».

Pavillon Suisse et Villa Savoye en France

Pavillon Suisse, Paris

La Cité internationale universitaire de Paris a été construite en 1922 dans un parc de 44 hectares à l’emplacement des anciens murs de la ville. On y trouve de nombreux pavillons nationaux. Le Pavillon suisse est aujourd’hui considéré comme un musée, mais il s’agit à l’origine d’une résidence étudiante. Il a été classé Monument historique en 1986.

C’est en 1924 que la Suisse a pris la décision de faire construire un pavillon au sein de la Cité internationale universitaire de Paris. Entre 1925 et 1930, un comité s’est attaché à recueillir des fonds et à obtenir une subvention fédérale. À la demande du professeur Rudolf Fueter, mathématicien et recteur de l’Université de Zurich, la décision a été prise de confier le chantier à Le Corbusier. L’architecte, en proie à la prudence suite à son échec au concours de 1927 pour la construction du Palais de la Société des Nations, a tout d’abord été hésitant. Il a néanmoins fini par accepter la proposition, convaincu qu’« à Paris, il était important que la Suisse apparaisse sous une forme différente que cette image rustique véhiculée par les poètes, composée de vaches et de chalets ».

Le Pavillon suisse est par ailleurs un très bon exemple des cinq points de l’architecture contemporaine développés par Le Corbusier et Pierre Jeanneret.

Villa Savoye et pavillon du jardinier, Poissy

 

Sur le plateau de Beauregard, à Poissy, dans le département des Yvelines en région Île-de-France, dans un lieu qui domine la vallée de la Seine, Le Corbusier et Pierre Jeanneret ont conçu un chalet idéal pour les fins de semaine et une maison de jardinier, à l’intention de Monsieur et Madame Pierre Savoye : la Villa Savoye et la pavillon du jardinier.

Une construction emblématique et un parfait exemple des cinq points de la nouvelle architecture selon Le Corbusier. Ces cinq points préconisent le béton armé pour la construction des pilotis, un jardin sur le toit, une construction ouverte, des fenêtres horizontales et une conception libre de la façade – des princies qui ont tous été appliqués dans la conception de la Villa Savoye. Il s’agit là d’un symbole absolu du modernisme et le bâtiment fait partie de la liste des réalisations inscrites au Patrimoine mondial de l'UNESCO en 2016. Avec la Villa Savoye, construite pour Pierre Savoye et son épouse Eugénie, Le Corbusier a joué sur des volumes blancs immaculés sur pilotis. Le corps principal de la maison est entouré de quatre murs identiques, ceinturés sur tout leur pourtour par une bande de fenêtre coulissante unique en son genre – un système breveté par Le Corbusier et Pierre Jeanneret.

 

L’Association des Sites Le Corbusier

Dans le cadre de la première demande d'inscription des œuvres de Le Corbusier sur la Liste du patrimoine mondial de l’UNESCO en 2009, il s’est avéré nécessaire de mobiliser les acteurs de tous les territoires concernés (régions, départements, structures intercommunales, villes, propriétaires privés et publics, associations).

C’est dans cet esprit que l'Association des Sites Le Corbusier (ASLC) a été créée à Ronchamp le 27 janvier 2010. Cette association internationale, qui compte à ce jour une soixantaine de membres, représente l'ensemble des communautés françaises et étrangères impliquées dans ce processus, ainsi que d'autres acteurs internationaux liés d’une manière ou d’une autre au patrimoine créé par l'architecte Le Corbusier.

La demande de reconnaissance de l'œuvre architecturale de Le Corbusier en tant que Patrimoine mondial est le résultat d'un effort commun initié il y a plus de dix ans. Il a été préparé par l’Argentine, la Belgique, la France, l’Allemagne, l’Inde, le Japon et la Suisse.

L'œuvre architecturale de Le Corbusier, contribution exceptionnelle au mouvement de la modernité, a finalement rejoint la Liste du patrimoine mondial de l'UNESCO le 17 juillet 2016 avec 17 œuvres réparties dans 7 pays et sur 3 continents.

 

Destinations Le Corbusier : Promenades architecturales en France

Cité Frugès, Pessac
4, rue Le Corbusier
33600 Pessac

www.pessac.fr/a-decouvrir/tourisme-patrimoine/cite-fruges-le-corbusier-539.html

Site Le Corbusier, Firminy
Route de Saint-Just Malmont
42700 Firminy

www.sitelecorbusier.com

Couvent Saint-Marie de la Tourette, Eveux
Route de la Tourette
69210 Eveux

www.couventdelatourette.fr

Chapelle Notre-Dame du Haut, Ronchamp
13 rue de la Chapelle Colline de Bourlémont
70250 Ronchamp

www.collinenotredameduhaut.com

Usine Duval, Saint-Dié-des-Vosges
1, avenue de Robache
88100 Saint-Dié-des-Vosges

www.sites-le-corbusier.org/fr/manufacture-a-saint-die-des-vosges-usine-duval

Unité d’Habitation Briey, Briey
1, avenue du Dr P. Giry
54150 Briey-en-Forêt

www.lapremiererue.fr

Immeuble locatif Porte Molitor
24, rue Nungesser et Coli
75016 Paris

www.fondationlecorbusier.fr

Maisons La Roche-Jeanneret, Paris
8 Square du Dr Blanche
75016 Paris

www.fondationlecorbusier.fr

Pavillon Suisse, Paris
7k, Boulevard Jourdan
75014 Paris

www.fondationsuisse.fr

Villa Savoye et pavillon du jardinier, Poissy
82, chemin de Villiers
78300 Poissy

www.villa-savoye.fr


 

Illustrations, droits à l'image

  • Cité Frugès, Pessac © FLC-ADAGP - PAUL-KOZLOWSKI
  • Site Le Corbusier, Firminy Olivier Martin-Gambier 2008 © FLC-ADAGP
  • Couvent Saint-Marie de la Tourette, Eveux Olivier Martin-Gambier © FLC-ADAGP
  • Chapelle Notre-Dame du Haut, Ronchamp © ANDH
  • Manufacture Usine Duval, Saint-Dié-des-Vosges Olivier Martin-Gambier © FLC-ADAGP
  • Unité d’Habitation Briey, Briey ©Pascal Volpez © Association La Première Rue © FLC-ADAGP
  • Immeuble locative Porte Molitor, Boulogne-Billancourt ANTOINE-MERCUSOT © FLC-ADAGP
  • Maisons La Roche-Jeanneret, Paris Olivier Martin-Gambier © FLC-ADAGP
  • Pavillon Suisse, Paris Olivier Martin-Gambier © FLC-ADAGP
  • Villa Savoye et pavillon du jardinier, Poissy Paul Koslowski © FLC-ADAGP
  • © FLC-ADAGP - AONDH - ProLitteris 2019
  • © Google Maps, Route by Les Couleurs Suisse AG

Sources

 

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